Thursday, October 10, 2024

Le SRAS-CoV-2 est-il partout?

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Selon un rapport du 16 novembre 2020 de Food Safety News,1 une enquĂŞte chinoise a rĂ©vĂ©lĂ© que le SRAS-CoV-2 est prĂ©sent sur de nombreux produits alimentaires et emballages importĂ©s, et il est loin d’ĂŞtre une incidence solitaire.

«Des rapports rĂ©cents incluent la dĂ©tection du coronavirus sur des emballages de crevettes d’Arabie saoudite, du poisson d’Inde, du bĹ“uf du BrĂ©sil et d’Argentine et du porc d’Allemagne». Food Safety News Ă©crit, ajoutant:2

«Le Service national de la santĂ© et de la qualitĂ© agroalimentaire (SENASA) en Argentine a dĂ©clarĂ© que c’Ă©tait la première fois qu’un tel incident se produisait dans des produits du pays depuis le dĂ©but de la pandĂ©mie et qu’il enquĂŞtait.

La cargaison Ă©tait entrĂ©e par le port de Shanghai. Le 9 novembre, une partie a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e dans une chambre froide de la ville de Nanjing, la capitale du Jiangsu. Le 10 novembre, avant sa mise sur le marchĂ©, les autoritĂ©s de Nanjing ont testĂ© le produit et dĂ©tectĂ© de l’acide nuclĂ©ique sur l’emballage extĂ©rieur. »

Le saumon norvĂ©gien, le poulet brĂ©silien et les crevettes Ă©quatoriennes – que ce soit l’aliment ou son emballage – ont Ă©galement Ă©tĂ© testĂ©s positifs pour le SRAS-CoV-2. Au moins neuf provinces chinoises ont signalĂ© avoir trouvĂ© de l’ARN du SRAS-CoV-2 dans des aliments surgelĂ©s importĂ©s depuis juillet 2020.

Bien que la contamination ait soulevĂ© des inquiĂ©tudes, la Commission internationale des spĂ©cifications microbiologiques des aliments (ICMSF) a dĂ©clarĂ© que le virus est peu susceptible de poser un risque pour la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, notant que «la simple prĂ©sence d’un agent infectieux dans un aliment ne se traduit pas nĂ©cessairement par une infection.”3

Le SRAS-CoV-2 peut faire du stop sur la pollution atmosphérique

Le SRAS-CoV-2 a Ă©galement Ă©tĂ© trouvĂ© sur des particules de pollution atmosphĂ©rique. Selon The Guardian,4 les scientifiques Ă©tudient pour dĂ©terminer si le virus pourrait se propager sur de longues distances de cette façon. On ne sait toujours pas si le virus peut rester viable s’il fait du stop sur des particules de pollution, ou si cette route distribuerait des quantitĂ©s suffisantes pour rendre quelqu’un malade s’il l’inhalait. Selon The Guardian:5

«Les scientifiques italiens ont utilisĂ© des techniques standard pour collecter des Ă©chantillons de pollution de l’air extĂ©rieur dans un site urbain et un site industriel dans la province de Bergame et ont identifiĂ© un gène hautement spĂ©cifique au COVID-19 dans plusieurs Ă©chantillons. La dĂ©tection a Ă©tĂ© confirmĂ©e par des tests Ă  l’aveugle dans un laboratoire indĂ©pendant…

Une analyse statistique6,sept par l’Ă©quipe de Setti suggère que des niveaux plus Ă©levĂ©s de pollution particulaire pourraient expliquer des taux plus Ă©levĂ©s d’infection dans certaines parties du nord de l’Italie avant qu’un verrouillage ne soit imposĂ©, une idĂ©e appuyĂ©e par une autre analyse prĂ©liminaire.8 La rĂ©gion est l’une des plus polluĂ©es d’Europe.

Le rĂ´le potentiel des particules de pollution atmosphĂ©rique est liĂ© Ă  la question plus large de la transmission du coronavirus. De grosses gouttelettes chargĂ©es de virus provenant de la toux et des Ă©ternuements des personnes infectĂ©es tombent au sol Ă  moins d’un mètre ou deux. Mais des gouttelettes beaucoup plus petites, de moins de 5 microns de diamètre, peuvent rester dans l’air pendant des minutes Ă  des heures et voyager plus loin …

Les chercheurs affirment que l’importance de la transmission aĂ©rienne potentielle et le rĂ´le stimulant possible des particules de pollution signifient qu’elle ne doit pas ĂŞtre exclue sans preuves.

Le SRAS-CoV-2 peut se propager loin Ă  l’extĂ©rieur

En effet, les bactĂ©ries, qui sont beaucoup plus grosses que les virus, n’ont aucun problème Ă  se dĂ©placer dans l’air, il n’y a donc aucune raison de douter que les virus le fassent Ă©galement.

Note scientifique du 5 octobre 2020 des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis9,dix sur le SRAS-CoV-2 souligne que le virus peut se propager soit par de grosses gouttelettes respiratoires (ce qui est le seul avantage potentiel du port d’un masque) ou par de petites particules en suspension dans l’air qui «peuvent rester en suspension pendant de nombreuses minutes Ă  heures et voyager loin de la source sur les courants d’air. »

En 2019, les chercheurs ont dĂ©couvert que les bactĂ©ries pouvaient ĂŞtre transportĂ©es sur des milliers de kilomètres dans l’air,11 ce qui complique le confinement des flambĂ©es bactĂ©riennes. D’autres Ă©tudes ont dĂ©montrĂ© que les bactĂ©ries rĂ©sistantes aux antibiotiques peuvent se disperser sur de longues distances en se superposant Ă  la poussière des parcs d’engraissement.12

Un article13 par BGR, publiĂ© en avril 2020, a constatĂ© que les marcheurs, les coureurs et les cyclistes peuvent avoir besoin de maintenir une distance allant jusqu’Ă  66 pieds afin d’Ă©viter toute exposition lorsqu’ils font de l’exercice Ă  l’extĂ©rieur. BGR Ă©crit:14

“La recherche,15 qui a Ă©tĂ© menĂ©e par une Ă©quipe internationale comprenant des scientifiques en Belgique et aux Pays-Bas, a Ă©tudiĂ© les impacts des mandats actuels de distanciation sociale lorsqu’ils sont appliquĂ©s Ă  l’exercice en plein air…

Les sentiers extĂ©rieurs prĂ©sentent un dĂ©fi unique, car les individus respirent fortement et peuvent mĂŞme tousser ou Ă©ternuer en cours de route. Si une deuxième personne suit, mĂŞme Ă  ce qui serait considĂ©rĂ© comme une distance “ sĂ»re ” pour une interaction Ă  l’intĂ©rieur, elle entrerait rapidement en contact avec des particules dans l’air qui pourraient contenir le virus …

Sur la base des simulations et des donnĂ©es, l’Ă©quipe suggère que les personnes qui marchent Ă  l’extĂ©rieur devraient maintenir un minimum de quatre mètres (13 pieds) de sĂ©paration.

Les coureurs et les motards occasionnels devraient essayer de rester Ă  au moins 10 mètres (33 pieds), et les cyclistes rapides devraient essayer de rester Ă  au moins 20 mètres (66 pieds) des autres utilisant les mĂŞmes pistes. Les chercheurs notent Ă©galement qu’il est vital d’Ă©viter le chemin direct de la personne en face de vous, mĂŞme en maintenant ces distances.

Nulle part oĂą courir, nulle part oĂą se cacher

L’ironie ici est que les auteurs donnent l’impression que vous pouvez en quelque sorte Ă©viter le virus Ă  condition de suivre certaines règles, comme rester Ă  une certaine distance et Ă©viter d’avoir une autre personne directement devant vous. La logique vous dirait qu’une fois que le virus est dans l’air, il va se dĂ©placer avec l’air dans n’importe quelle direction dans laquelle l’air se dĂ©place.

Pouvez-vous vous cacher du vent? Pouvez-vous vous cacher de l’air? Si ces Ă©tudes nous disent quelque chose, c’est que nous ne pouvons pas nous cacher de ce virus. Nous ne pouvons pas nous sĂ©parer suffisamment des autres pour Ă©liminer le risque de transmission.

Et, comme dĂ©taillĂ© par Denis Rancourt dans notre entretien de juillet 2020, la recherche montre clairement que les masques ne peuvent empĂŞcher la propagation des virus en suspension dans l’airdonc vous cacher derrière un masque ne vous fera pas grand-chose non plus. Si l’air peut circuler Ă  travers le masque, le virus peut Ă©galement circuler. Tout ce qu’un masque peut faire est de limiter la propagation de grosses gouttelettes respiratoires contaminĂ©es.

L’Ă©chec des masques est Ă©galement Ă©vident dans les donnĂ©es rĂ©centes du CDC16,17,18 montrant que 71% des patients atteints de COVID-19 ont dĂ©clarĂ© porter «toujours» un masque en tissu ou un masque facial dans les 14 jours prĂ©cĂ©dant leur maladie; 14% ont dĂ©clarĂ© avoir portĂ© un masque «souvent». Au total, 85% des patients atteints de COVID-19 avaient fait preuve de diligence dans l’utilisation du masque, mais cela ne les protĂ©geait pas du virus.

Les experts de la santĂ© appellent Ă  une approche d’immunitĂ© des troupeaux

Étant donné que nous ne pouvons pas nous cacher du virus, la voie la moins destructrice à suivre serait de mettre en œuvre les conseils donnés par les auteurs de la déclaration de Great Barrington, qui appelle à une «protection ciblée»:19

«Nous savons que la vulnérabilité à la mort du COVID-19 est plus de mille fois plus élevée chez les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, le COVID-19 est moins dangereux que de nombreux autres méfaits, y compris la grippe.

Ă€ mesure que l’immunitĂ© se dĂ©veloppe dans la population, le risque d’infection pour tous – y compris les personnes vulnĂ©rables – diminue. Nous savons que toutes les populations finiront par atteindre l’immunitĂ© collective – c’est-Ă -dire le point auquel le taux de nouvelles infections est stable – et que cela peut ĂŞtre assistĂ© par (mais ne dĂ©pend pas) d’un vaccin. Notre objectif devrait donc ĂŞtre de minimiser la mortalitĂ© et les dommages sociaux jusqu’Ă  ce que nous atteignions l’immunitĂ© collective.

L’approche la plus compatissante qui Ă©quilibre les risques et les avantages d’obtenir l’immunitĂ© collective est de permettre Ă  ceux qui courent un risque minimal de mourir de vivre normalement leur vie pour dĂ©velopper une immunitĂ© au virus par le biais d’une infection naturelle, tout en protĂ©geant mieux ceux qui sont au plus haut risque. Nous appelons cela une protection ciblĂ©e. »

Au 19 novembre 2020, il avait Ă©tĂ© signĂ© par 35236 mĂ©decins (y compris le vĂ´tre), 12.115 scientifiques mĂ©dicaux et de santĂ© publique et 638.921 citoyens concernĂ©s.20 Si vous souhaitez que la vie revienne bientĂ´t Ă  un semblant de normal, vous pouvez envisager signer la dĂ©claration. Plus le nombre de personnes s’opposant Ă  des verrouillages continus est Ă©levĂ©, plus nous sommes susceptibles d’influencer nos dĂ©cideurs.

Envisagez la désobéissance civile pacifique

De toute Ă©vidence, la plupart des gens sont bombardĂ©s par la propagande des mĂ©dias grand public qui cherche Ă  vous convaincre que les masques sont nĂ©cessaires pour empĂŞcher la propagation du COVID-19. Il est donc tout Ă  fait comprĂ©hensible que vous souhaitiez que tout le monde porte des masques parce que vous pensez qu’ils sauveront des vies.

Cependant, si vous Ă©valuez soigneusement les preuves, indĂ©pendamment du rĂ©cit grand public, vous conclurez probablement que cette recommandation n’a rien Ă  voir avec la diminution de la propagation du virus, mais plus Ă  vous endoctriner Ă  la soumission.

Dans mon entretien avec l’analyste financier Patrick Wood, il fournit des preuves irrĂ©futables qu’il s’agit d’une stratĂ©gie technocratique soigneusement Ă©laborĂ©e qui est en place depuis environ 50 ans. En nous soumettant Ă  des ordonnances inconstitutionnelles telles que le port de masque, l’auto-isolement et les verrouillages, nous prĂ©parons probablement le terrain pour les vaccinations obligatoires, le suivi et le traçage. Tout cela fait partie de la grande rĂ©initialisation plan.

Avec les taux de mortalitĂ© COVID-1921,22,23 aussi bas soient-ils, le port obligatoire du masque, la distanciation sociale, les verrouillages et les fermetures d’entreprises sont non seulement inefficaces et inutiles, mais ces mesures provoquent Ă©galement un effondrement Ă©conomique mondial. Il semble que la seule justification de cette stratĂ©gie soit d’augmenter la peur, la tyrannie et le transfert de richesse vers les Ă©lite technocratique.

Rappelez-vous en mars 2020, quand ils ont dit que nous devions simplement «aplatir la courbe» et ralentir le taux d’infection pour Ă©viter la surpopulation des hĂ´pitaux? Comment en sommes-nous passĂ©s Ă  devoir porter des masques partout jusqu’Ă  ce que toute trace de virus soit Ă©liminĂ©e, mĂŞme si une grande majoritĂ© reste asymptomatique et ne sait mĂŞme pas qu’elle a le virus Ă  moins d’ĂŞtre testĂ©e?

Ă€ prĂ©sent, les soi-disant «passeports santé» sont en cours de dĂ©ploiement, et ce n’est qu’une question de temps avant La vaccination COVID-19 sera requise pour voyager. Pendant des mois, beaucoup ont dit: «Ce n’est qu’un masque. Quel est le problème? Portez-le pour que nous puissions mettre fin Ă  cette pandĂ©mie. » BientĂ´t, cela sera remplacĂ© par «Ce n’est qu’un vaccin. Quel est le problème? Prenez-le pour que nous puissions tous revenir Ă  la normale.

HĂ©las, il n’y aura pas de retour Ă  la normale Ă  moins de faire des histoires. Il devient de plus en plus clair que la grande rĂ©initialisation est tout sauf la promesse de l’utopie. Ce qu’ils essaient de nous faire accepter, c’est un cauchemar dystopique d’une existence oĂą il n’y a ni intimitĂ© ni libertĂ© Ă  proprement parler.

Nous amener Ă  revĂŞtir nos masques n’est rien de plus qu’un doux endoctrinement. Cela nous apprend Ă  obĂ©ir sans poser de questions – un exemple parfait est celui oĂą le Dr Anthony Fauci a rĂ©cemment dĂ©clarĂ© qu’il Ă©tait temps pour les AmĂ©ricains d’abandonner leur esprit indĂ©pendant et de «faire ce qu’on vous dit».24

Dans l’ensemble, il semble que le meilleur moyen d’Ă©viter un combat beaucoup plus pĂ©nible sur la route soit de s’engager dans la dĂ©sobĂ©issance civile maintenant, car une fois que la grande rĂ©initialisation aura Ă©tĂ© pleinement mise en Ĺ“uvre, la dissidence ne sera plus possible. Pour des stratĂ©gies pratiques sur la façon dont vous pouvez rĂ©agir Ă  la lumière de toutes les interventions tyranniques qui nous ont Ă©tĂ© imposĂ©es, consultez l’interview de James Corbett avec Howard Lichtman ci-dessous.



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